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Jean-Claude Walter a entrepris dans cet essai, qui est une lecture de l’œuvre de Léon-Paul Fargue, un voyage à l’intérieur de ses poèmes. On oublie trop souvent que le piéton de Paris fut un des premiers à introduire la ville dans la littérature moderne. Il n’était pas seulement un flâneur, traquant l’insolite dans les rues, mais l’espace urbain a inspiré la longue phrase de son poème, et lui a permis de chercher et de trouver un sens à sa vie d’homme errant. On ne peut envisager l’entreprise poétique de L.-P. Fargue en dehors de Paris. La ville définit aussi bien sa vie, sa façon d’être, que sa démarche poétique, c’est-à-dire son écriture. Elle est à l’origine de la parole de Fargue, le théâtre de son drame, et aussi l’être vivant auquel il s’affronte quotidiennement, l’ennemie, mais également la complice. La ville-miroir, la ville-prison, la ville-femme, ont abouti à la création de la ville-poème : à travers elle, Jean-Claude Walter a tenté de cerner le secret de la parole du poète.