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"Avec ce vase, le livre s'ouvre sur un mystère qui restera à l'uvre sous des symboles aussi antagonistes que le piège diabolique où s'est empêtré Théophile, docteur Faust villageois, et le diamant exceptionnel qui révélera l'hypocrisie d'un moderne pharisien. Un premier guitariste provoque un commentaire en acte de l'une des plus désagréables malédictions évangéliques. Un second prétend renouveler un vieux mythe où se sont affrontées la Musique et la Mort. Tandis qu'un fantôme s'échappe d'une lettre de Lewis Carroll, le rêveur de la Petite musique de nuit recevra, avec des souvenirs cruels, la certitude qu'un amour de l'adolescence revit quelque part dans sa force et sa fraîcheur.
Un squelette de chat nous introduit à une méditation sur la résurrection des corps. La Guerre, mystère non moins déconcertant, fait les frais d'un dîner de tête. Si les stratèges en balistique nous font dresser les cheveux, allons nous réfugier sur les toits de Rome où les personnages italiens d'Hoffmann se divertiront à nos dépens mais nous feront oublier, une nuit, les démons de l'épouvante, qui nous attendent dans la rue.
Dans le vase de Gurgan, l'intérêt, d'abord fixé sur l'enveloppe, se concentre finalement sur le contenu qui demeure inaccessible. La valise, elle non plus, ne livrera son secret : ne contenait-elle que du vent, et le vase que de la bourre ? L'inquiétude provoquée, voire l'irritation du lecteur ainsi tenu en haleine sont-elles présomption suffisante pour affirmer que vase et valise contenaient un trésor ?" Noël Devaulx.