Le sens des retours précédé de Le sens des départs
J'écoute la parole muette des morts, sans nier leur disparition, mais en affirmant leur présence persistante, résistante peut-être : il faut savoir fréquenter les morts, particulièrement si l'on est écrivain.
Je ne parle que de morts que j'ai connus, le plus souvent aimés, à ma façon, même si tous ceux que j'ai connus ou aimés ne sont pas là, avant tout parce que je craignais de blesser des survivants, qui n'auraient pas compris que je m'occupe de « leurs » morts. Le possessif accompagne la mort, même s'il lui va aussi mal qu'à la vie.
Avec la poussière en grande conversation
Il recherche l'équilibre du dernier mot
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