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Le 20 mars 1804, à quatre heures du matin, dans les fossés du château de Vincennes, sur ordre du général Bonaparte, seize balles tirées par seize gendarmes d'élite foudroient un jeune homme de trente et un ans, le duc d'Enghien, dernier des Condé. Sa faute ? Être prince du sang royal de France. C'est au prix de ce sang-là que le consul Bonaparte va devenir l'empereur Napoléon. Pour retrouver les traces de ce personnage, Florence de Baudus a visité les lieux où le prince est mort et ceux où il a vécu. À Chantilly, dans le château des Condé, elle a marché sur ses pas, dépouillé une correspondance abondante et des journaux manuscrits, pour la plupart jamais encore publiés. Dans le somptueux château de Sychrov, en Bohême, comme dans la modeste maison d'Ettenheim sur les bords du Rhin, dernière demeure du prince, elle a cherché le souvenir de ses amours avec la princesse Charlotte de Rohan-Rochefort S'interdisant tout jugement politique, elle s'est attachée à rendre vivante la personnalité de ce duc Va-de-bon-cur, séduisant, courageux, intelligent, et donc trop dangereux pour qu'un Bonaparte ambitieux le laissât en vie.