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Un grand roman avec des aliens et des voyages dans l’espace, ce n’est pas si souvent à la Volte. Avec Philippe Curval on ne peut que s’attendre à être pris à contre-pied. Si les Txalqs sont une race supérieurement développée, leur physique sphérique pourvu de huit minuscules tentacules ne leur permet pas de se déplacer facilement. Pour cela, ils utilisent des hôtes dont ils maîtrisent l’esprit, mais ceux-ci dépérissent. Aussi faut-il migrer. Drossé par un ressac de l’espace, l’élu va aboutir sur Terre et s’y reproduire par scissiparité. Son but ? Une quête de beauté et de perfection intellectuelle que les siens poursuivent depuis des millénaires de planète en planète. Afin d’organiser une société harmonieuse, les Txalqs vont prendre possession des humains par télépathie. Alors que l’immense majorité goûte le plaisir, physique et mental, d’être dirigée, seuls quelques individus résistent. Les résistants, qui se réfugieront sur Vénus, auront à choisir entre s’implanter ailleurs dans les étoiles ou tenter de sauver les Terriens. Les lecteurs peuvent être tour à tour partagés entre les deux partis : vaut-il mieux préserver sa liberté absolue au sein d’une humanité inconséquente et incapable d’évoluer ? Ou bien estimer finalement que ce n’est peut-être pas si mal d’abandonner son libre-arbitre pour participer à l’édification d’une grandiose harmonie ? Le dénouement sera inattendu.