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Dans « Veille de fête », Roger Boutefeu racontait son enfance et sa prime jeunesse dans la zone des fortifs parisiennes ; son adolescence dans les milieux libertaires, à la CGT, et enfin en prison pour des articles politiques. Puis vint la guerre d’Espagne dont « Le Mur blanc » porte l’âpre témoignage. Roger Boutefeu est loin, à cette époque, de la Foi chrétienne ! Pendant des années, Roger Boutefeu, exerce le métier de berger et un jour se convertit et entre dans l’Église. Il a raconté son cheminement dans : « Je reste un barbare. » Et voici qu’arrivé à l’âge où tout s’apaise, il nous fait part de cette paix lumineuse acquise au contact de ce terroir de Côte-d’Or où il s’est enraciné. Il narre les péripéties de cet enracinement dans un style juteux comme les raisins du pays, chaleureux comme le vin qu’ils mûrissent, la sagesse émanant du quotidien. Nulle spéculation philosophique, mais, au contact de la nature, des paysans, des vignerons, des artisans, ses amis, une VIE jaillit des profondeurs du sol, source à laquelle Roger Boutefeu s’abreuve. Le Quotidien de l’Éternel respire la paix, la joie de vivre l’humble quotidien dans le soleil, le vent, la pluie, le coin du feu, le verre de vin de l’amitié, la contemplation d’un paysage ou d’une architecture, où sérénité et joie figurent et préparent l’éternel.