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Dans la tradition de Marcel Aymé, Georges Baudouin nous entraîne avec humour et pétulance dans les péripéties de Clérissault. Son imagination vive nous emporte dans un tourbillon de situations cocasses dans lesquelles se débattent des personnages merveilleusement croqués. Clérissault est une petite ville française comme tant d’autres avec une majorité d’agriculteurs, le maire, le curé, l’instituteur. Ses habitants se croisent entre la droguerie et la boulangerie, ou se retrouvent à l’auberge-bistrot. Bref tous coulent des jours paisibles jusqu’au moment où un Américain fortuné vient s’installer et décide de les aider, de subventionner ceux qui lui soumettent des projets valables. Les plus audacieux (souvent les plus aisés) bénéficient d’un soutien financier du généreux donateur et prospèrent rapidement, tandis que les plus pauvres, n’ayant rien à gérer, rien à améliorer et pas d’idées, restent à la traîne. Alors deux clans entrent en conflit. La haine et la jalousie – attisées par les commères – déferlent sur la petite ville, empoisonnant l’atmosphère. La population se met à détester l’Américain. L’instituteur, hors conflit, demande aux jeunes de réfléchir sur la situation et d’imaginer ce qu’ils feraient, eux, avec cet argent providentiel...