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Le meilleur d’Ana, c’est ce qui la révélera à elle-même et aux autres comme un être libre et autonome. Le meilleur d’Ana, c’est ce qui lui permettra d’échapper à cette île où elle a vu le jour, cette île au milieu de l’océan comme elle fut, elle, au milieu de sa mère durant neuf mois. Le meilleur d’Ana, c’est ce qui lui permettra d’échapper à ce qui ressemble trop à son avenir. Le meilleur d’Ana, ce sera enfin ce qui l’aidera à briser le dernier des cercles qui la retiennent prisonnière de l’enfance, en devenant capable d’aimer et d’être aimée. Quand tu aimes, il faut partir, écrivait Cendrars. On se laisse volontiers embarquer dans ce récit de passage auquel une prose sobre et sensible confère la force d’évidence d’un poème. Marc Le Piouff avait déjà donné un aperçu de son talent dans Les silences à venir, son premier recueil de textes courts paru en 1997 chez HB Éditions. Il le confirme par la grâce et la maîtrise qui font Le meilleur d’Ana.