
Dans le Jardin de la Reine, de la Sagesse, éclosent des fleurs
que C.G. Jung a appelées synchronicités.
La correspondance qui soudain se manifeste entre un événement
extérieur et un vécu intérieur est évoquée par Étienne Perrot
à l'aide de certains exemples, comme le hasard significatif ou le
Yi king. Elle se trouve également mise en évidence dans la narration
d'histoires individuelles, caractéristiques, attestant que des coïncidences
se révèlent être signifiantes et permettent à tout être qui
s'implique dans sa vie intérieure de s'ouvrir à ce qui lui advient et
d'en accueillir le sens.
Échappant à la causalité, la synchronicité vivifie celui qui en fait
l'expérience, car elle le place dans un autre mode de perception que
celui de la rationalité et l'aide à se situer dans une sorte d'unité ou
d'unification, dans l'unus mundus des alchimistes, là où semble
opérer l'âme du monde.
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