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Avoir le « goût du pain », cela signifie simplement vivre, pour l’âme comme pour le corps. « Perdre le goût du pain », cela, pour les bonnes gens, veut dire : mourir. La Parole et l’Eucharistie, ces « deux tables », comme on dit aujourd’hui volontiers, n’en font qu’une en réalité. Il n’y a qu’un seul « Pain vivant » et qui fasse « vivre pour toujours » (Jean, 6) : on ne peut refuser sous une espèce ce qu’on accepte sous l’autre, car l’une et l’autre sont nécessaires : « celui qui ne reçoit pas ma parole est déjà jugé » ; « celui qui ne mange pas ma chair… n’aura pas la vie en lui ». La dissociation qui s’opère sous nos yeux trop souvent entre la « prédication apostolique » et le « culte eucharistique » est une erreur funeste : elle divise le sacerdoce lui-même et le ruine, après avoir divisé le Christ. Quelle merveilleuse intelligence au contraire de la Parole de Dieu chez celui qui sait « goûter au don céleste » ! Quelle intelligence de l’Eucharistie chez celui qui « savoure la belle Parole de Dieu » ! (Hebr. 6, 4-5). De part et d’autre en effet c’est le même pain, le « pain unique » : Jésus-Christ. De tout cela on pourra juger sur un simple et pur exemple, celui d’une femme admirable dont l’enseignement est pour la première fois mis au jour.