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Rentrant d’Afrique où il a laissé sa femme, Lina, dont il croit être las, Gilles Nardin découvre à quelques kilomètres de chez lui le cadavre d’un homme qui vient d’être victime d’un chauffard. Pourquoi ne se rend-il pas à la gendarmerie pour faire part de sa découverte ? Il prétend rechercher la vérité, mais n’est-ce pas lui-même qu’il cherche, dans la solitude de sa chambre, au creux de son fauteuil à bascule qui abritait, en Afrique, ses nostalgies ? Il aspire à l’amitié, mais voit un possible coupable en chacun de ceux qu’il fréquente, ce qui l’écarte de tout le monde. C’est une bien étrange aventure que nous conte Gabrielle Marquet. Tout s’y passe en sourdine, dans un climat feutré où chaque être pose une énigme et où les choses prennent parfois une réalité aiguë. L’auteur de « La cerise de porcelaine » et des « Martins-pêcheurs » démontre ici, avec une grâce acide, combien est difficile le choix d’une victime et dangereux le rôle de justicier.