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On n’écrit presque plus comme cela. Malheureusement. Gérald Tougas raconte avec un style d’un remarquable classicisme, sans que celui-ci soit désuet. On pourrait penser à Proust ou même à Stendhal... mais aujourd’hui. Voilà, n’est-ce pas un intéressant «cocktail» stylistique ? Le deuxième train de la nuit fait suite, sans en être véritablement la suite, à La mauvaise foi (1990), car ce roman a sa cohérence propre, bien qu’il explore le même univers. Nous sommes toujours en 1969, en cette année où l’homme a marché sur la Lune. Et revoilà les deux mêmes narrateurs, Marcel et Philippe. Celui-ci se trouve à Sainte-Luce avec Marcel. Il est revenu au pays pour y finir ses jours. L’oncle et le neveu se ressemblent en ce qu’ils sont tous les deux des exilés volontaires. Ici c’est Philippe, l’autodidacte grand parleur, qui raconte sa propre histoire. Que s’est-il passé au cours d’une certaine nuit il y a longtemps ?