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Le démolisseur, c’est un homme — un de la “horde des Zamé” — saisi par une passion dévorante, “dans un monde sans dialogue, un monde livré à la bête, au minéral ; n’agissant que par la contrainte des lois de la mécanique, sans organisation, sans puissance ; un monde froid, du feu le plus brûlant”. Dans ce monde, dans cette ville de “bêtise-fiction”, emplie de majuscules, où se côtoient tous les comiques et tous les absurdes, Le démolisseur poursuit avec un humour grinçant et une détermination insensée ce qu’il faut bien appeler un amour dénaturé. Emilienne, dont Zamé ne parvient pas à entendre la voix, s’y brûle. Irène, elle, résiste à sa violence froide, peut-être par ce qu’elle est aussi violente et absolue que cet amour. Mais l’absolu, c’est la destruction, et “la violence est une beauté”. C’est toute la question de ce roman. Une question actuelle. On en parle. Lui, il la vit. Simplement, et dans la dérision. En filigrane, sous cet homme révolté, l’impossibilité de tout dialogue. Hormis celui de l’auteur et de son personnage, qui prennent tour à tour la parole, parallèles que seul un accident d’accommodation fait parfois se frôler.