Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
L'art contemporain est une énigme pour beaucoup. La question se pose, non seulement de son sens, mais de son existence. L'art n'est-il pas devenu affaire de médias, voire de marché ? N'a-t-il pas perdu sa qualité d'art au profit de conceptualisations de plus en plus subtiles ? De plus en plus sollicité par les pouvoirs publics, ne risque-t-il pas de perdre son autonomie ? Partant de l'art, l'auteur analyse ici l'hybridation de ces paramètres : le social, le politique, le juridique. L'art contemporain ne serait-il pas, à la croisée des chemins, la médiation nécessaire entre ces domaines, jouant ainsi son propre rôle, à la fois critique et régulateur ? Passant en revue les mouvements artistiques actuels, Jean-Jacques Gleizal dresse avec dextérité le tableau de leurs traits distinctifs : tous, chacun à leur manière, manifestent le lien entre la subjectivité et la sphère publique où ils s'inscrivent : L'art met en relation et est mis en relation. Voilà qui propose les bases d'une connaissance politologique de l'art.