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Fondateur et directeur de l’hebdo « La Vie du Rail », qui lui doit un tirage de 300 000 exemplaires et le diplôme « Prestige de la France », chroniqueur dans un grand quotidien de Paris, Roger Ferlet a conduit parallèlement une carrière d’homme de lettres dont 14 titres, presque tous réédités, témoignent du succès. Ses plus beaux livres sont ses trois classiques ardéchois : Ardesco, La Madrague et Valentine, qu’un ouvrage de classe exceptionnelle, Le Vivarais, est venu magistralement couronner. Ce merveilleux album constitue ce qu’on a réalisé de plus beau et de plus complet sur l’Ardèche. « Son texte est ample, généreux, aimant... » a écrit Pierre Vallier dans « Le Dauphiné Libéré ». Et, dans « Les Nouvelles Littéraires », Georges Charensol, renchérit : « Nul mieux que l’auteur d’Ardesco, n’était qualifié pour présenter l’Ardèche... ». En reprenant L’Amour d’une Ombre et Le Grand Élan à la Robe Claire, après avoir repris Véronique Alvernèse ; en éditant Récits d’Islam après avoir édité Les Contes de ma Mère le Rail et Dans l’Attente du Train, les éditions du Dialogue ont voulu montrer tout l’intérêt qu’elles portent à cette littérature positive dont malgré la diversité des sujets traités l’inspiration spiritualiste est toujours sous-jacente, n’attendant pour s’exprimer qu’une opportunité dont seul le déroulement du récit commande l’épanouissement. Cette âme littéraire, lien entre les livres de Roger Ferlet donne un sens à la riche expérience d’une existence remplie et assure la survie d’une œuvre qui commence à compter.