Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
L'étude sur l'agroforesterie comme solution à la réduction des conflits entre humains et faune sauvage a été menée dans la zone d'intérêt cynégétique (ZIC) 19 de Tchéboa au Nord Cameroun. L'objectif global était de contribuer à la gestion durable de la faune sauvage à travers l'amélioration des connaissances sur les pratiques agroforestières adaptées à la zone. Pour y parvenir, les observations directes, les entretiens structurés avec les paysans et les entretiens semi structurés avec les autres parties prenantes ont été réalisés. La pratique de l'agroforesterie se fait de manière traditionnelle dans la ZIC 19. Six systèmes agroforestiers y ont été identifiés et décrits. Les attaques de la faune sauvage sur les cultures constituaient la majorité (65%) des conflits rapportés. La distance aux zones de conservation n'influençait pas l'occurrence et la fréquence des conflits qui d'ailleurs, n'étaient pas concentrés spatialement. Selon la majorité des paysans, les haies vives, les jardins de case et les parcs arborés contribuent à réduire les attaques des animaux sur les cultures. Ces systèmes agroforestiers sont donc à promouvoir par les gestionnaires aires protégées.