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Les lecteurs africains, pour qui l'expression « ajustement structurel » est devenue non seulement familière mais surtout synonyme de privations et de contraintes économiques et sociales, réagiront sans doute avec étonnement devant ce nouveau concept d'ajustement culturel que nous propose Daniel Etounga-Manguelle. Alors, après l'économie, l'on voudrait maintenant « ajuster » aussi notre culture ? Il ne faut pourtant pas s'y tromper, la réflexion à laquelle l'auteur nous convie ici, ne débouche pas uniquement sur la nécessité évidente de remettre au goût du jour nos us et coutumes ancestraux : - fondements de la culture africaine s'il en est -, mais l'économiste nous démontre de surcroît, avec des exemples à l'appui, que sans cet ajustement culturel, il n'y a pas de salut pour les populations africaines. L'un des mérites de Daniel Etounga-Manguelle est d'avoir voulu, par une démarche analytique sans concessions, aller plus loin et faire toucher du doigt ce qui, dans la culture africaine, freine, voire interdit tout changement social.