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Janvier 1762 : le corps d’Élisabeth Sirven est retrouvé dans un puits. Après une enquête à charge, les parents, protestants établis près de Castres, accusés de l’avoir tuée parce qu’elle s’était convertie au catholicisme, sont condamnés à être pendus. Convaincu de leur innocence et révolté contre une sentence 'si absurde', Voltaire s’empare de l’affaire. Puisque il n’y a qu’'une famille entière réduite à la misère, cela ne vaut pas la peine qu’on en parle', ironise-t-il. Il en parlera pourtant avec obstination : pendant sept ans il refera le chemin qui l’a mené à la réhabilitation des Calas – autres protestants condamnés pour infanticide –, avec les mêmes étapes, et le même succès. Les Sirven sont acquittés en 1771. À l’occasion de l’affaire Sirven, Voltaire rédige un nouveau Traité sur la Tolérance : l’Avis au public sur les parricides (1766), qu’on retrouve ici accompagné de ses lettres aux avocats et parlementaires en charge du dossier. Il grave ainsi, pour toujours, ce fait divers dans sa lutte contre le fanatisme, la superstition et l'intolérance.