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Y a-t-il des locomotives dans l’histoire ?« Un effet de la Terreur, écrivait en 1797 Adrien Lezay, fut de détruire les anciennes habitudes, et de donner aux nouvelles coutumes autant de force que l’habitude eût pu le faire. Dix-huit mois de Terreur suffirent pour enlever au peuple des usages de plusieurs siècles, et pour lui en donner que plusieurs siècles auraient eu peine à établir. Sa violence en fit un peuple neuf. »« Rien de plus évidemment faux, répliquait Benjamin Constant ; les ennemis de la république s’emparent habilement de la réaction que la Terreur a causée. C’est de la mémoire de Robespierre que l’on se sert pour insulter aux mânes de Condorcet. La Terreur a préparé le peuple à subir un joug quelconque ; elle l’a rendu indifférent, peut-être impropre à la liberté. »Est-il possible de contraindre à la « vertu », comme le croyaient Platon et Saint-Just ? En revanche, la « tolérance » est-elle justifiée en soi, ou bien serait-elle une forme subtile d’acceptation de l’ordre établi ? Voilà le dilemme indiscret que ce livre un peu à contre-courant voudrait esquisser.