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En réaction aux avancées féministes, partout dans le monde, des hommes radicalisés se livrent à des actions violentes pour entraver l’émancipation des femmes et des minorités. Les pouvoirs publics peinent à identifier les idéologies masculinistes pour ce qu’elles sont : un ensemble de thèses conspirationnistes participatives, qui peuvent motiver des individus ou des groupes au passage à l’acte violent, aussi bien dans la sphère privée (violences domestiques) que publique (violences sexuelles, harcèlements massifs en ligne jusqu’à des attentats meurtriers) et dont l’objectif est de reconsolider la domination masculine. Le livre dresse un panorama de ces groupes, avec leur diversité, leur organisation, leurs business, leurs soutiens, leurs moyens d’action (notamment via les Gafam), la manière dont ils s’articulent avec d’autres courants antidémocratiques. Il étudie aussi les mécanismes par lesquels leur dangerosité est minorée : « pères privés d’enfants », « misère sexuelle », « éternels éconduits »… Il montre enfin que derrière ces profils d’hommes violents et qu’on croit marginaux s’est développé un courant de pensée politique dangereux, centré sur la quête du monopole des pouvoirs. Stephanie Lamy affirme qu’il est urgent d’agir contre l’idéologie masculiniste et de revoir nos politiques sécuritaires à cette aune.