
Quand le mari arriva avec ses invités, ils mangèrent tous. Personne
ne se soucia de l'absence de Ziri. Seule Aïcha refusait de manger
et ramassait les os de son frère à mesure que les autres les jetaient
par terre. Elle les enterra dans le jardin derrière la maison.
Quand le printemps vint, un genévrier poussa à l'endroit où Aïcha
avait enterré les os. Tous les jours, à l'approche du moment où Ziri
fut égorgé par sa mère, le genévrier se mettait à chanter :
«Ma mère m'a égorgé, m'a égorgé !
Mon père m'a mangé, m'a mangé !
Aïcha a ramassé mes os !»
En entendant l'arbre chanter ainsi, la mère prit peur ; elle se saisit
d'une hache et l'abattit. Mais les racines continuaient de chanter.
Mi-d yeggwed wergaz d inebgawen, (...)an yakw. Yiwen ur inuda
af ziri meskin. Ala Eica teggumma a(...). TjemmeEpsilon iGammasan n gma-s
di lqaEpsilona. Tne(...)l-iten di teb(...)irt sennig wexxam. A-(...)-aya teggw(...)-e(...)
(...)efsut. TemGammai-d (...)ejra n taqa g-wemkan anda ten(...)el Eica iGammaessan n
Ziri.
Yal-ass, mi-d yeggwe(...) (...)wakud i-gi ye(...)wan(...)el Ziri, anza n (...)ejra ad
icennu ad yeqqar :
«Yemma tezla-yi, tezla-yi !
Baba ye(...)a-yi, ye(...)a-yi !
Eica tejmeEpsilon leEpsilon(...)am-i !»
Mi-s tesla i tejra n taqa t(...)ennu, yemma-s ikecm-i(...) lxuf teddem
tagelzimt tgezm-i(...). Qqimen i(...)uran n tejra mazal cennun...
We publiceren alleen reviews die voldoen aan de voorwaarden voor reviews. Bekijk onze voorwaarden voor reviews.