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« Dans la question des colonies et des nationalités opprimées, les partis des pays dont la bourgeoisie possède des colonies ou opprime des nations doivent avoir une ligne de conduite particulièrement claire et nette. Tout parti appartenant à la Troisième Internationale a pour devoir de dévoiler impitoyablement les prouesses de « ses » impérialistes aux colonies, de soutenir, non en paroles mais en fait, tout mouvement d’émancipation dans les colonies, d’exiger l’expulsion des colonies des impérialistes de la métropole, de nourrir au cœur des travailleurs du pays des sentiments véritablement fraternels vis-à-vis de la population laborieuse des colonies et des nationalités opprimées et d’entretenir parmi les troupes de la métropole une agitation continue contre toute oppression des peuples coloniaux. » De 1920 à 1962, le Parti communiste français a-t-il respecté ou trahi la ligne ainsi tracée par Lénine dans la Huitième des Vingt et une conditions d’admission à l’Internationale communiste ? Jacques Jurquet s’est attaché à répondre à cette question, en limitant ses recherches au cas de l’Algérie. Son étude comporte quatre tomes (1847-1920 ; 1920-1939 ; 1939-1954 ; 1954-1962). Militant du Parti communiste français depuis 1943, l’auteur est entré en opposition avec la ligne de son Parti à l’occasion de la guerre de libération nationale déclenchée par le peuple algérien à partir de 1954. Après la fin de la guerre d’Algérie, il a trouvé confirmation du bien-fondé des idées qu’il défendait dans les positions des Partis communistes chinois et albanais. En avril 1964, il a été exclu du Parti communiste français, sur ordre du Comité central, parce qu’il défendait les thèses marxistes-léninistes de ces Partis et parce qu’il avait établi des contacts personnels avec des communistes chinois. Fin 1967, il a été élu secrétaire politique du « Parti communiste marxiste-léniniste de France », dont on sait qu’il fut interdit par le pouvoir le 12 juin 1968. Disposant d’une abondante documentation rassemblée depuis dix années, et assuré de la collaboration de certains anciens dirigeants du Parti communiste algérien, Jacques Jurquet contribue par cet ouvrage à la lutte idéologique, théorique et politique contre le révisionnisme moderne, en se référant au marxisme, au léninisme et à la pensée-maotsétoung.