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Entrée des chars de la 2e DB dans Paris, combats de rue associant FFI et tankistes de Leclerc, de Gaulle descendant les Champs Élysées, liesse populaire. Autant d’images gravées dans la mémoire collective et qui surgissent immédiatement à l’évocation de la libération de Paris.
Aux premières histoires de la libération de Paris, bientôt suivies par les mémoires de plusieurs acteurs, ont succédé les grandes polémiques comme la lancinante mise en accusation des communistes par les gaullistes à propos des tireurs des toits. Cette nouvelle histoire de la libération de Paris se propose d’éclairer l’événement sous des angles négligés jusqu’ici.
D’un strict point de vue militaire, la bataille de Paris oppose des forces de faible ampleur. Et les pertes sont à la hauteur des effectifs engagés : 200 morts et 500 blessés alliés, sans doute 2 800 tués et 4 900 blessés allemands.
Et pourtant, on dansa dans les rues de Montevideo à l’annonce de la libération de Paris. De toute évidence, la force du symbole dépasse de très loin l’enjeu militaire : elle est perçue comme l’annonce de la chute désormais imminente du Reich hitlérien. S’il y eut bataille, elle se situa donc sur le plan politique. Cinq acteurs principaux s’y déchirèrent furieusement : le pouvoir vichyste déliquescent, les communistes, de Gaulle, la Résistance intérieure, et le général von Choltitz, soucieux d’une reddition honorable. De Gaulle en sort vainqueur. Mais ce serait oublier le rôle décisif d’Eisenhower, véritable deux ex machina de la pièce, et le basculement de la police parisienne, hier encore fidèle à Vichy.