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« Il n’est aucun récit factice », écrit Nicolas Florence dans ce roman du récit. Son personnage principal, une journaliste, grand reporter envoyé dans les pays où sévissent guerres, massacres, exécutions, éprouve au plus vif les affres d’une réalité odieuse qu’elle doit restituer au plus grand nombre au moyen de l’écriture. À quarante ans, célibataire après avoir été mariée, mère d’une jeune fille qui lui a échappé, le souvenir de l’enfance la tourmente. Sa grande ambition est l’écriture, non plus cette écriture journalistique de la réalité rapportée, mais celle, à la fois intime et rêvée, de la « fiction ». Or, ses tentatives répétées pour trouver un éditeur se heurtent à des refus réitérés, comme si l’écriture « véritable » ne pouvait conduire qu’à la solitude et à l’incompréhension. Double récit, double narration, on peut parler, non sans trouble, de roman initiatique, tant l’auteur y conjugue l’art et l’ardeur d’écrire à un désenchantement où alternent ironie, lucidité et foi.