Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Avec La fortune de Mazarin, premier ouvrage de la nouvelle collection Histoire et fortunes, Claude Dulong nous donne le résultat des recherches qu'elle poursuit depuis longtemps sur l'enrichissement de Mazarin. On y voit un premier ministre en exercice, puisant dans les deniers publics pour faire le métier d'armateur, de banquier, de négociant international. On y voit un collectionneur passionné, un amateur de pierres précieuses et d'objets rarissimes, un bibliophile, entassant dans son palais ce que les contemporains appelaient les merveilles du monde. On y voit un étonnant réseau d'intermédiaires – hommes d'affaires et prête-noms – travaillant à la fortune du cardinal, et la puissance de travail de ce dernier qui ne négligera rien pour améliorer ses ressources, comme pour assurer la grandeur du royaume. Mais le livre va bien au-delà de son sujet, en évoquant, dans le contexte particulier du Grand Siècle, les rapports entre le pouvoir et l'argent : il éclaire les divers motifs qui incitèrent Mazarin à agir comme il le fit et, d'une certaine façon, l'y autorisèrent. Enfin, il aborde, par le biais des questions financières, les étranges relations du cardinal avec sa souveraine, Anne d'Autriche, et aussi avec le jeune roi Louis XIV, dont il prépara le règne.