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Un drame de conscience entre bien d’autres dans les Services Secrets français. L’assassinat élevé à hauteur d’avertissement politique par un homme d’État. Et, naturellement, l’on charge de cette sale besogne l’ami de la victime désignée. Drame de conscience ou absurdité kafkaïenne des Services Secrets français ? La question reste posée tout au long des mille péripéties de ce roman-vérité, si proche de la réalité et si exact que, au moment de « l’affaire Fournier », la presse identifie ses personnages avec des figures du SDECE qui défraient l’actualité. Le personnage central est Roi-René. Il est l’énigmatique chef du contre-espionnage. Qui sert-il en réalité ? L’Est ou l’Ouest ? La vérité perce entre les lignes. Mais le lecteur ne la découvrira qu’à la fin, avec stupéfaction, comme il a découvert en lisant la presse que le SDECE aurait été manœuvré par des agents favorables aux Soviets. Mais ce Roi-René n’est-il pas, en définitive, un homme qui s’illusionnait sur lui-même et sur une certaine idée de la France ?