Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Il est presque devenu cliché de parler de la « crise de la démocratie » que traversent les sociétés occidentales. Les femmes et les hommes politiques sont désormais perçus comme une caste de privilégiés au service des grandes entreprises et du monde de la finance. La corruption rend les citoyens de plus en plus cyniques et les pousse à l’abstention les jours de vote.
Mais si le problème de notre système politique n’était pas celui qu’on pense ? Si les médias, les citoyens, les jeunes ou les populistes n’étaient pas à blâmer, mais plutôt le processus même au coeur de notre démocratie : les élections ?
Dans cet essai, Hugo Bonin nous rappelle que pendant longtemps, d’Aristote à Montesquieu ou Rousseau, l’élection a été jugée trop aristocratique et trop élitiste. Pour attribuer des responsabilités politiques, les démocrates avaient recours à un outil oublié de nos jours : le tirage au sort.
Retraçant l’histoire perdue du hasard en politique ainsi que différents exemples de son utilisation contemporaine, cet ouvrage fournit des pistes de réflexion pour ceux qui souhaitent transformer notre démocratie représentative.
Parce que la politique, c’est l’affaire de n’importe qui.