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« Bien que l’égalité, dans son degré le plus extrême, se confonde avec la liberté », dans la réalité — disait Tocqueville — « le goût que les hommes ont pour la liberté et celui qu’ils ressentent pour l’égalité sont deux choses inégales » ; « la liberté donne, de temps en temps, à un certain nombre de citoyens de sublimes plaisirs ; l’égalité fournit chaque jour une multitude de petites jouissances à chaque homme ».C’est justement le tableau que l’auteur anonyme de la Constitution d’Athènes a esquissé à propos de la cité démocratique par excellence, Athènes. Là, à son avis, les jouissances de l’égalité ont tué, grâce à la démocratie, le plaisir sublime de la liberté.S’appuyant sur une relecture de ce texte, Luciano Canfora déroule le fil conducteur qui relie les républiques antiques aux démocraties modernes et constate l’antinomie toujours renaissante entre élan démocratique et désir de liberté.Y a-t-il donc entre les deux idées dominantes de la pensée politique occidentale une opposition inconciliable ?