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Le hasard. Il n’y a que ça, au fond, le hasard. Lui qui nous fait vivre, mourir, aller, venir, naître, disparaître. On pourra me servir tous les baratins scientifiques qu’on veut, ou le blablabla de n’importe quel Témoin de Jéhovah, c’est lui, le maître : le hasard. Quand j’ai eu compris ça, je me suis dit que pour devenir quelqu’un, il fallait devenir le hasard de quelqu’un d’autre, bon ou mauvais. Et il y a eu le mémorable épisode avec Rony. Là, tout est devenu clair et j’ai pigé ce que c’était, « se réaliser ». Un samedi matin, sur l’autoroute E42 en direction de Liège. Entre désir de revanche sur la vie et musique des sphères, le Hasard revient sur les lieux d’un de ses crimes passés pour entrechoquer les destinées.
La Danse de Pluton, un roman d'une intense noirceur, animé par une tension qui prend racine dans l’âme tourmentée d’une certaine Wallonie.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
- "Avec un séduisant mélange d’esprit, de sensibilité et de culture, Saenen nous a concocté un conte à l’arrière-plan mythologique, d’où l’humour n’est jamais absent, un humour grinçant et diablement efficace, comme l’illustrent l’hilarante satire des enseignants en milieu multiculturel (« socles de compétences » et « démo-créativité»), le récit d’une virée dans le Liège nocturne, les savoureux portraits... " (Christopher Gérard, La Cause littéraire) - "Premier roman particulièrement réussi pour le Liégeois Frédéric Saenen. Une écriture moderne pour un récit qui tient en haleine." (Marie-Françoise Gihousse, L'Avenir)
A PROPOS DE L'AUTEUR
Diplômé de philologie romane, Frédéric Saenen assure des cours de français à l'UlG. Il a débuté sa carrière d'écrivain avec la poésie pour ensuite se tourner vers des récits courts en prose. Frédéric Saenen accorde une attention particulière à la musicalité du langage et aux sonorités qui se dégagent d'un texte. Cette oralité fortement marquée provient probablement de l'influence qu'a eu Céline, auteur qu'il admire et qui fut son sujet de mémoire. Frédéric Saenen est également critique littéraire pour, entre autres, Jibrile et Le Magazine des livres.
EXTRAIT
— Je descends à la cave, chercher un truc ! De toute façon, elle n’a rien entendu. Encore le cul planté devant ses séries à la mords-moi-lenœud, avec le poste poussé à fond et le cendrier qui déborde. L’ampoule nue est presque trop faible pour éclairer tout ce bordel. C’est bien parce qu’il y a cette saleté d’humidité, sinon je devrais venir plus souvent ici, je parie qu’il y a plein de quincaillerie que je pourrais refourguer sur une brocante ou l’autre. Tous ces outils presque neufs, plusieurs dans leur emballage d’origine, qui doivent valoir un petit pactole. Raison de plus de s’en débarrasser maintenant qu’il n’y a plus personne pour s’en servir.