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Quelle est l’utilité de l’exploration de l’espace ? C’est à cette question que répond l’auteur en expliquant d’abord ce que sont la vie et le psychisme à la lumière des connaissances modernes. Selon toute vraisemblance, cette vie et ce psychisme, sous des formes probablement différentes de celles que nous connaissons, existent sur d’autres planètes, gravitant autour d’étoiles plus ou moins semblables au Soleil. La « conquête » des astres devra tendre à l’établissement de contacts fructueux avec ces autres mondes et avec les intelligences qui pourraient s’y trouver. De plus l’expansion de l’humanité pose un problème qui finira par devenir insoluble s’il ne peut dépasser les limites de la Terre. En fin de siècle, le nombre des humains aura passé de 3 milliards, chiffre actuel, à 6 milliards, pour atteindre 30 milliards vers l’an 2100. En admettant qu’une exploitation intensive et rationnelle des richesses de la planète permette encore à cette époque de nourrir ces 30 milliards d’individus, que se passera-t-il ensuite ? Hilaire Cuny souligne les difficultés de l’exode vers d’autres mondes. Il décrit ce que pourrait être la vie des hommes sur les planètes les plus proches : Mars et Vénus, puis il évoque le départ d’émigrants au-delà du système solaire, emportés par des cosmonefs géants dont la vitesse approchera celle de la lumière. Et ceci posera le problème de la « suspension » de la vie pour les cosmonautes.