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1931. Sur l’initiative d’André Citroën est lancée « l’expédition française Centre-Asie », la fameuse « Croisière jaune ». De Beyrouth à Pékin, les autochenilles Citroën parcourent plus de 12 000 kilomètres. A leur tête, Georges-Marie Haardt, qui a déjà mené à bien en 1924 la non moins célèbre « Croisière noire ». De cet exploit authentique, qui a fait date dans l’histoire de l’automobile, Henri Viard s’est inspiré pour le feuilleton de télévision « La cloche thibétaine » (1ère chaîne) et pour le roman que nous publions aujourd’hui. Il s’agit bien sûr d’un livre de fiction, mais une fiction qui n’exagère nullement — même si elle les romance — les difficultés qu’ont dû surmonter Haardt et ses compagnons. Aux obstacles naturels, à la chaîne de l’Himalaya, au désert de Gobi, se sont ajoutés les obstacles humains ou politiques : pillards arabes, bandits mongols, « irréguliers » chinois, tribus du Sin-Kiang en révolte, peuplades non contrôlées. Les rebondissements se succèdent, les pires difficultés sont vaincues une à une, par la ténacité, par l’endurance, parfois par la ruse. « La cloche thibétaine », c’est une aventure digne de Jules Verne, où le comique côtoie le tragique. C’est l’exploration d’immenses territoires encore mal connus à l’époque, c’est le triomphe des techniques nouvelles et de l’ingéniosité de ceux qui les emploient, c’est surtout le combat victorieux d’une poignée d’hommes contre l’adversité.