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Foudroyé par une attaque cardiaque, Fenns, un Fenns déjà mûrissant, est arraché à l'existence superficielle où il tentait jusqu'alors de se réfugier, et de fuir. Pour la première fois, il regarde en face la « ceinture de ciel » qui étreint notre terre : existence de Dieu, survie de l'individu, tout ce qui, pour cet athée d'instinct, représente la tentation métaphysique, surgit sous la forme d'interrogations concrètes, charnelles et douloureuses. Qu'est-ce que lâme, si âme il y a ? Tel est, au fond, le problème par excellence, ici posé. Et c'est une coïncidence assurément intentionnelle qui le relie au mystère de l'amour, un amour non point né de l'érotisme, mais de cette soif d'impossible tendresse qu'avait tenté de peindre La Pluie sur la mer. En fait, c'est la guérison de Fenns, corps et âme, qu'on suit pas à pas, cependant que l'ensemble de son univers bascule autour de lui : mort du père, explosion d'un impossible amour... D'autres destins interfèrent dans cette crise au ralenti, celui de Guège, celui des enfants, celui des Plaa, lui donnant son épaisseur romanesque et révélant les multiples dimensions du temps. La Ceinture de Ciel chante comme un adagio mélancolique et insistant.