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Dans nos sociétés modernes, l’héritage n’est plus réservé aux riches. Transmettre est devenu une norme socioculturelle au sein des familles des classes moyennes. D’où ce paradoxe en France : l’impôt sur la fortune (ex-ISF) demeure l’impôt le plus populaire, mais les droits de succession sont l’impôt le plus impopulaire. Alors, faut-il supprimer les droits de succession comme l’ont fait d’autres pays européens ? Ou faut-il au contraire les augmenter fortement alors que l’héritage est devenu une composante majeure de l’enrichissement individuel ? Pour répondre de manière précise et argumentée à ces interrogations, André Masson a conçu son livre comme un vade mecum destiné aux membres d’une convention citoyenne sur l’héritage. En 50 questions, il explore toutes les dimensions du sujet, des polémiques du xixe siècle sur l’abolition de l’héritage (Marx était contre !) à ses différents aspects familiaux, de l’efficacité de l’impôt successoral (l’héritage constitue-t-il une rente indue ?) à ses propositions de réforme. Il argumente finalement pour un dispositif successoral inédit qui favoriserait les investissements de long terme bénéfiques à notre pays. Une bible ! André Masson est directeur de recherche au CNRS et directeur d’études à l’EHESS. Il est chercheur à l’École d’économie de Paris (PSE). Ses travaux portent sur le patrimoine des Français, les liens entre générations et la rationalité de l’épargnant. Il est notamment l’auteur de Nos sociétés du vieillissement entre guerre et paix (Éditions L’Autreface, 2020) et Chronique d’un impôt sur l’héritage en perdition (PUF, 2023). Le CEPREMAP (Centre pour la recherche économique et ses applications) a pour mission d’assurer une interface entre le monde académique et la décision publique. Il est dirigé par Claudia Senik.