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« J’en ai par-dessus la tête de mes problèmes intimes. Il faut que je me sorte de ma tour d’ivoire, si confortable soit-elle, pour me plonger dans l’existence de mes contemporains… »
Mais comme Topor n’est pas un aventurier, il préfère toucher à distance la prime pour la mort de Salman Rushdie, convier Marilyn Monroe dans ses rêves, imaginer Duras et Godard en train de disserter au beau milieu de l’océan, nous parler de l’art des lettres anonymes, du mensonge de la dissuasion nucléaire, des prix littéraires et de l’accent belge, de la pluie et du beau temps, de tout et de rien, bref au fond toujours de lui-même : « À force d’entendre parler de moi, je meurs d’envie de me connaître. »
Un livre loufoque, cocasse, surprenant, imaginatif, parsemé d’un humour noir aussi cruel qu’hilarant.
Dessinateur, peintre, écrivain, dramaturge, poète, cinéaste, acteur, etc., Roland Topor (1938-1997) dessine pour Hara-Kiri, reçoit le prix de l’Humour noir dès 1961 et cofonde le mouvement Panique. Son premier roman, Le Locataire chimérique, sera adapté au cinéma par Roman Polanski ; il écrira aussi des recueils de nouvelles et des pièces de théâtre. Du film d’animation La Planète sauvage à Marquis, en passant par Palace et Téléchat, il marquera de son humour noir le cinéma et l’audiovisuel.