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Après Veille de fête où il nous racontait son enfance dans la zone et Je reste un barbare où l’ex-clochard, ex-anarchiste découvrait l’Evangile en prison et décidait d’y conformer sa rude vie de berger, voici la suite de l’autobiographie de Roger Boutefeu. Dépassant la cinquantaine, père de nombreux garçons, le « barbare » n’a pas désarmé ; en lui « l’attente demeure tapie en profondeur » et il continue à se dépenser en activités très diverses : équipes d’évangélisation, conférences publiques, régénération des alcooliques, opérations Emmaüs, librairie, voyages, et pendant un moment quête inutile du coin de terre où reprendre la vie de berger. Pendant tout ce temps il tient un journal où passé et présent s’entremêlent, où l’amitié occupe une place importante, où les liens profonds qui l’unissent à sa femme et à ses enfants tissent la trame du récit. Mais si, en surface, le tumulte semble s’être un peu apaisé, effectuant pourtant par moments de brusques sorties, en profondeur c’est une « lutte de Jacob » quotidienne. Déchiré par les dissensions qui règnent au sein de l’Eglise, déçu par l’attitude de bien des chrétiens, frappé durement par l’épreuve dans sa vie familiale, le « barbare » ne cesse de se battre pour rester fidèle à Celui dont « la voix est douce » au cœur même du tumulte.