Nous devons choisir de vrais médecins, ceux qui veulent comprendre avant de prescrire, ceux qui ne multiplient pas les prescriptions sans précaution, sans éthique.
Bien des questions se posent sur l'existence d'un diagnostic sérieux lorsque l'on sait que l'analyseur automatique du laboratoire fait tout le travail ! On soigne les conséquences du mal, sans même envisager un seul instant, de s'attaquer aux causes...
Pourquoi traiter l'excès de cholestérol, de triglycérides, de sucre et j'en passe... lorsque l'obésité en est la cause ? Il faut traiter l'obésité ! ! !
Ce type de médecine permet visiblement d'améliorer le cash-flow des grands laboratoires sans parler des conséquences (certaines maladies connexes d'organes vitaux).
Pendant ce temps, les médecins prescrivent, les politiques applaudissent et la sécurité sociale semble ravie de son déficit ! ! !
Il faut redistribuer les cartes de la santé en France, éviter l'inflation de médicaments et d'actes inutiles. Ceci n'est sûrement pas une affaire de budget, bien au contraire ! Nous sommes tous des malades potentiels et nous devons revendiquer une qualité irréprochable et optimale des soins et traitements. Une démarche "qualité" devrait s'imposer tout naturellement, un suivi sérieux, des contrôles aux différentes étapes de la maladie, de la pathologie du patient jusqu'au coût imputable à la Sécurité Sociale. Comme pour le permis de conduire à points, celui qui ne respecte pas sa conduite (hygiène alimentaire, alcoolisme, tabagisme ou autres) ne devrait-il pas prendre à sa charge une partie de ses propres erreurs ?
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