
Deux citations de J.E. Bencheikh pour inviter à la lecture de ce montage imaginé par C.C. Achour à partir d'entretiens ou d'écrits.
Un poème :
« Je lui chantais devant la nuit des qasidas andalouses où se dit le mal d'aimer qu'à Tlemcen on pleure au refrain.
...râh u khallâni/ ...u rani wabdâni/ ...mardu dakhlâni
Et déjà dans l'air limpide sa flûte dessinait l'exil.
al-frâq kwâni b-nâru / yarmi b-chrâr/ ayyâmi m'ab sâru/ bakmat laqdâr
N'est-ce pas là aussi prosternation sur la natte dorée de notre grande mosquée à la treille ? »
Une question : « Qui retrouvera le parchemin où naîtra le palimpseste de l'espérance arabe ? »
Une parole vive à (re)découvrir plus que jamais.
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