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Il y a, en France, sept millions de chiens et quatorze millions de voitures, auxquels et auxquelles leurs propriétaires sont passionnément attachés. Avec, parfois, une préférence pour la voiture, ce que l’on constate au début des vacances, quand les automobilistes abandonnent leur chien jugé trop encombrant en voyage. Sans vocation cynophile au départ, Christian Mégret s’est trouvé un jour, par hasard, propriétaire d’un chien, lequel n’eut pas de peine à faire sa conquête. Un compagnonnage de neuf ans lui a inspiré J’ai perdu mon ombre, livre où il raconte comment la vie avec son chien envahit, agrémenta, enchanta la sienne. Il advient parfois que l’amour des bêtes s’exerce au détriment de l’amour du prochain. Or, rien de semblable dans ces pages. L’auteur n’est nullement misanthrope et pas davantage porté à bêtifier. En somme, ce livre est l’histoire d’un sentiment qui n’a pas dépendu du choix de son objet, et sans que le personnage y fût préparé. Souvent, les plus grandes amours se développent selon le même processus.