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Il y avait ceux qui partaient, la cognée sur l’épaule, coucher le chêne et le bouleau, ceux qui frappaient inlassablement sur l’enclume pour fabriquer des clous, ceux qui piochaient les pommes de terre et les cailloux à la “terre au loup”, celles qui battaient le linge dans la “grande fontaine”, en chuchotant quelques secrets vite dévoilés, celles qui cousaient d’élégantes robes pour la Saint Lambert, ceux qui tressaient — à la veillée — des paniers rustiques avec des brins de noisetier, ceux qui ferraient, sur Launet, les puissants chevaux ardennais, ceux qui écorçaient les jeunes chênes pour les tanneries, les charbonniers qui amassaient les bûches et surveillaient la meule, le tueur de cochons qui était toujours à la fête, l’habile cordonnier qui plantait l’alêne dans le cuir et chaussait tout le village, celui qui détournait le ruisseau pour la roue de son moulin, ceux qui échappaient aux douaniers en passant le précieux café et le tabac, ceux qui tâtaient la truite dans la Hulle, ceux qui — dans le brouillard complice — tendaient aux “passantes d’octobre”, ceux qui guettaient le sanglier dans leur champ de pommes de terre, tous ces hommes rudes qui, dans la lourde chaleur de l’été ou dans le froid vif de l’hiver, travaillaient avec courage, amour et passion.