Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Après avoir restitué le mouvement, en vertu duquel le philosophe expose dans Le Principe responsabilité une éthique qui s’applique à la vie et en provient, cet ouvrage justifie le tournant médical opéré par Hans Jonas dans Technik, Medizin und Ethik. Cela ouvre une réflexion en quatre temps. En premier lieu, il faut faire un diagnostic éthique du rôle de la technique au sein de la recherche scientifique. En second lieu, il faut se demander si l’accélération de nos progrès technologiques ne modifie pas la signification de la médecine, ce qui requiert une interrogation sur les valeurs qui guident cette pratique. Il apparaît alors que ce sont les conditions les plus essentielles de notre être-au-monde, la naissance et la mort, qui risquent d’être altérées par l’agir technologique. Dans un troisième et quatrième moment, il faudra donc se pencher sur la manière dont la procréation médicale assistée et, plus fondamentalement encore, l’ingénierie future pourraient modifier le sens de la venue au monde des enfants. Outre la natalité, la mortalité est le second pôle qui détermine les conditions essentielles de la présence au monde de l’homme. C’est la raison pour laquelle, dans un dernier temps, l’éthique doit également se pencher sur la manière dont des techniques, apparues dans la seconde moitié du XXe siècle, peuvent bouleverser notre façon de mourir.