Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
La carrière de Pascal Olmeta, c’est une jolie chanson qui perce par temps de pluie. "Goal, ma drôle de vie", écrit avec Alain Azhar, est l’autobiographie du gardien le plus spectaculaire de l’Hexagone. Né sous le soleil de la Corse, il rêvait de cascades et de jongleries. À Bastia, il a découvert la fièvre de Furiani. À Toulon, il a grandi au son d’une révolte permanente. Au Matra, il a réalisé que le football peut être gris. Au Racing P1, il a plongé dans des paris impossibles. À l’Olympique de Marseille, apothéose de sa trajectoire, il a appris à se battre au sommet du football. Le Rambo blond de la lucarne a des regards nostalgiques, et quelques fameux coups de blues. Dans "Goal, ma drôle de vie", tout est dit avec la sensibilité d’un homme bondissant dans l’existence. Du dopage à quelques accrochages avec d’autres footballeurs, ou aux inévitables “affaires”, Olmeta jaillit de sa surface de vérité. Vedette, malgré lui, des faits divers (maison plastiquée en Corse, dessous de table, inculpation), ce gardien électrique démonte les fils des fausses rumeurs et des mauvaises vérités. Un homme que l’on ne se lasse pas d’entendre, face à sa réalité solitaire d’acrobate sans filet.