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Après ses flâneries dans les ruelles montréalaises (Ruelles, jours ouvrables, 2005), André Carpentier s’est plongé quelques années dans l’ordinaire quotidien des cafés, carnet à la main, y consignant ses observations, impressions et intuitions, y ouvrant sa « géographie affective ». Il invite ici le lecteur à sortir flâner dans ses propres cafés, puis à revenir à une lecture par bribes de ce livre, s’il le veut bien, pour dialoguer avec lui. « Ces notes ont été prises à l’ombre de l’Amérique, à Montréal, où l’histoire des cafés est trop récente pour s’ être constituée en tradition ; elles ont été tirées du paysage mutant des cafés d’ici et d’aujourd’hui, qui, j’en ai bien peur, tombent lentement dans le décours des modes. Les cafés de Montréal ne sont pas des centres incontestés de la vie sociale, comme autrefois ceux de Constantinople ou de Vienne, ni même des laboratoires d’idées, comme dans le Paris postrévolutionnaire, mais ils demeurent des lieux publics ouverts à tous. On y croisera, à la suite et sans surprise, une chemise indienne, un tailleur Chanel, un jeans troué, une veste Armani, des sandales bibliques... Il s’agit d’un lieu où le fondement de l’activité est de n’en avoir pas trop ni de très importantes, un lieu où chacun s’autorise de lui-même à garder le silence ou à jaser tout son soûl. » A. C.