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Son essai "Éloge du social" est « un travail, poli par la meule des luttes et réalisations populaires pour une protection sociale moderne ». Mais il est « proféré par une seule voix », « car isolé on ose oser » (H. Matisse). Or, l’essai est osé, la voie prospectée nouvelle. Les idées reçues sur la maîtrise des dépenses de santé, les perspectives de la Sécurité sociale, l’espace social européen, sont subverties par une analyse de pointe originale et percutante. Au-delà, c’est la posture même du social dans nos sociétés contemporaines, l’enjeu de sa régulation, qui sont scrutés. En allant au plus intime et au plus grave, la santé, la souffrance, la mort, en disputant les idéologies des « ressources humaines », cet essai prend au sérieux le privé, le corps, le volontaire pour toute nouvelle avancée des formes publiques et solidaires. Il est une invite à sortir des sentiers battus et à construire, ici et maintenant, dans le maniement savant et simple des paradoxes du réel, l’économie d’une alternative sociale. Une économie où l’éthique, la morale, les droits de l’homme, deviennent de véritables opérateurs d’efficacité. Vingt ans après mai 1968, la « génération autogestionnaire » a, semble-t-il, quelque chose à dire et à faire.