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« Elle dégringole les vingt-cinq marches qu'elle avait réussi à gravir de peine et de misère, en s’appuyant sur son ombre. Sa blouse est ouverte sur ses seins. Son maquillage a coulé. Du haut de l’escalier, il la regarde lever les yeux vers lui. Des yeux infiniment durs et infiniment sauvages à la fois, qui ne demandent rien. C’est alors qu'il se résigne à descendre, la ramasse par le bras, la relève sans ménagement et lui hurle au visage qu'elle est une salope. »
C'est ainsi que s’amorce ce récit poétique, avec la rencontre de cet homme et d’une femme ravagée par la vie. Tout de suite, il n’a qu’une pensée : la sauver, contre son gré s’il le faut. Ils formeront un couple. Il ne sera plus seul.
« Cet homme, épris de la femme impure, est animé par une quête qui ne le laissera plus jamais, qui motive chacun de ses gestes. C’est là le commencement et le recommencement de cette histoire. La beauté stylistique du recueil de Stefan Psenak repose sur cette rencontre maintes fois répétée, maintes fois condamnée, entre l’homme et la femme. « Du chaos et de l’ordre des choses » en est la fable tragique et essentielle : la « sainte écriture », en quelque sorte, d’une histoire qui finira mal. Cela, nous le savions dès les premières pages. »