Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Voici mon journal secret, écrit Philippe Bouvard en tête de son nouveau livre. Pendant des années, et dans plusieurs œuvres (Carnets mondains - Un oursin dans le caviar - Du vinaigre sur les huiles - Et si je disais tout), j'ai cité les bons mots de mes clients les plus célèbres. C'est très récemment, que je me suis avisé que, dans ces différents livres, j'avais pratiqué l'auto-censure. Pas à l'égard de mes clients, sur lesquels je disais à peu près tout, mais à mon propre endroit. Voici donc, avec Douze mois et moi arrivé le moment où l'oursin entrouve ses piquants pour nous livrer un peu de lui-même. Simple plaisir d'introspection ? Ce serait mal connaître la nature de cet animal qui ne se complaît guère dans la contemplation de soi. Ses piquants sont faits pour piquer. Et s'il refuse aujourd'hui l'auto-censure, c'est qu'il veut atteindre - en se connaissant mieux - une plus grande lucidité à l'égard des autres : mieux se voir pour mieux juger autrui. C'est dire que - sincère cette fois jusqu'au bout - Philippe Bouvard - avec Douze mois et moi - n'épargne plus personne au fil de son journal. Voici, dans le désordre de son carnet de rendez-vous fort chargé, Piem, Michel d'Ornano, Maurice Druon, Alex Joffo, Alain Peyrefitte, Edmond de Rotchschild, Jacques Chancel, Pierre Douglas, Madame Alexandre Debray, Michel Guerard, le maréchal Tito, Alexandre Sanguinetti, Roger Gicquel, Dominique Jamet, Jean Dutourd, Jean Lefèvre, le baron Empain... et tant d'autres. 1er avril 1977 - 28 mars 1978, douze mois bien remplis pour Philippe Bouvard. Vivez à nouveau avec lui ces 365 jours qui viennent de s'achever, et qui furent si fertiles en événements.