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Trois amis, un peintre célèbre, un metteur en scène de théâtre et un écrivain (la cinquantaine) ont trouvé le séjour dont ils rêvaient pour s’isoler, réfléchir, et revenir aux sources de la création artistique. L’endroit : un village de montagne, quelque part en Pologne méridionale – et retiré à souhait. Ils cherchaient l’inspiration, ils la trouvent sous sa forme la plus élémentaire : le désir. Il y a la jeune Henia, blonde et rose créature, charmant succube qui évolue autour d’eux comme un papillon autour d’une flamme. Il y a la « châtelaine », version moderne de Salomé, pour qui la jouissance est en même temps accès à l’infini et vision de la mort. Il y a toutes ces « dames galantes », réelles ou seulement rêvées, qui peuplent la mémoire de nos trois héros : celle du premier baiser, celle de la première jouissance, celle du premier amour. Il y a enfin le père Adas, curé de la paroisse, qui reconstruit son église et pourtant annonce, avec la fin des idéologies, le règne prochain du démon. Tous trois tirent la leçon de leur séjour initiatique, et leur sagesse nouvelle tient en une phrase : « C’est au jour de notre mort que nous saurons enfin de quoi la vie était faite. »