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Un homme se jette d’une fenêtre d’HLM et se fracasse sur une poubelle. Dans l’immeuble d’en face, le narrateur et Uranie, qui frappe ses manuscrits, sont témoins du suicide. La jeune fille s’enfuit. Le roman raconte l’attente de son retour. Il nous dit aussi ce que deviennent les corps de tous ceux qui, de leur ciel d’HLM ou d’ailleurs, tombent dans des poubelles. « Il fallait qu’il conçoive la plus grande organisation logistique de tous les temps pour boucher le trou dans un délai record. Il imagina le ramassage d’urgence de tous les volants, supprimant le bouchage individuel au profit de celui du trou Bidou. Menace pour la population. Réquisition. Le monde ne pouvait être un trou. La quantité d’hommes volants qui s’écrasaient était très insuffisante. Il créa les conditions nécessaires à l’augmentation fracassante du nombre de suicidés par cette voie. Il fallait les détourner, les empêcher de creuser, les transporter. Alors il offrit aux femmes grosses déjà conductrices, des récompenses divines pour disposer des pièges-poubelles à hommes volants. Pour happer les élus. Amen. » Réalité et imaginaire, vie, écriture, s’interpénètrent et composent l’univers de ce roman dont l’auteur pourrait bien être un démiurge « boucheur de trou d’absolu ».