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Poète originaire de Boston, établi en Provence près de son ami René Char, Gustaf Sobin se décrivait lui-même comme un « flâneur archéologique ». Marcheur infatigable, passant au peigne fin les vergers, vignes et champs de blé de son pays d’adoption, il y a glané des vestiges, « frais comme les rêves », qui ont jailli du sol. Avec la voix juste du poète et le savoir d’un archéologue, il a cherché à les faire parler. Dans cet ensemble de vingt-six courts essais, Sobin mène une réflexion aussi bien anthropologique que poétique : quel lien unissait nos ancêtres à la terre qu’ils habitaient ? Quels mondes gisent sous le nôtre, et qu’en révèlent-ils ? De l’âge de pierre à l’Antiquité, d’une minuscule lame de hache, « svelte comme une truite » et vieille de quatre mille ans, à un imposant aqueduc de l’époque de Claude, il décrypte les débris collectés comme autant de signes qui parlent aussi de notre présent. « Car le passé, correctement interprété […], nous donne – de temps en temps – de foudroyantes visions de notre réalité. » Traduit de l’anglais (américain) par Elizabeth Deshays et Michel Roure.