« Je rencontrai la rousse Gladys au Parc Monceau, où j'allais régulièrement avec l'idée d'y draguer la plus belle fille possible. À cette époque de mon érotisme post-adolescent, cela signifiait simplement la plus grosse paire de seins imaginable. Et Gladys se présenta, lisant sur un banc du grand bassin, haut lieu de prouesses nautiques infantiles, avec ses attributs irrésistibles. Je l'abordai timidement puis, m'enhardissant grâce à son sourire, je lui dis combien elle me plaisait. Nous étions dans l'après-68 déclinant mais encore actif, l'été indien des esprits, elle me dit oui et m'invita chez elle à deux pas de là, dans un minuscule studio mansardé. Je crois que je battis avec Gladys mes records de célérité. Une heure et demie après l'avoir abordée, j'éjaculai, sur son visage poupin de belle fille paysanne fraîchement venue à la grande ville, de longues secousses de sperme longuement retenu. »
Adolescent, Gian Amoroma a brisé les carcans de l'hypocrisie chrétienne en matière de sexe... et de sentiments. Dès lors, il a participé activement à la libération sexuelle, dès mai 68, et même avant, jusqu'à nos jours. Par son témoignage intime, pétri de reconnaissance pour ses amantes, il donne les clefs pour passer de la théorie à la pratique, du rêve à la réalité.
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