
Dans les années soixante, en Ombrie, un vieux
peintre rassemble les souvenirs de sa vie tandis
qu'il continue de peindre son motif favori : des
bouteilles. Peu de temps après, une jeune fille
aveugle à qui il a enseigné le dessin s'efforce
de s'acclimater au monde désormais invisible
qui l'entoure.
Trente ans plus tard, Peter Caldicutt, qui avait
entretenu une correspondance avec le vieux
maître, est lui-même devenu un peintre paysagiste
réputé. Quelque temps après, à Londres, sa
fille Susan peine à surmonter la douleur causée
par la mort de son frère jumeau et s'attelle difficilement
au montage d'une exposition consacrée
aux maîtres européens du XXe siècle.
Entrecroisant habilement les trajectoires de ces
quatre personnages, Sarah Hall livre une réflexion
brillante et féroce sur l'art et la place qu'il occupe
dans nos vies.
«L'écriture de Sarah Hall est à la fois puissante
et délicate. Comment peindre un homme mort
procure les plaisirs les plus intenses que la fiction
a à offrir.» Nadeem Aslam
«Une incroyable prouesse d'ingénierie littéraire.
Si ses personnages laissent un souvenir obsédant,
sa maîtrise de la description des paysages est
impressionnante.» Katy Guest, Independent on
Sunday
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